Samedi 16 et dimanche 17 novembre 2024, Denis Langlois vous attend au SALON DU LIVRE DU TOUQUET-PARIS-PLAGE, salle des 4 Saisons, avenue de l’Hippodrome, sur le stand de la Librairie Le Furet du Nord.
Samedi 12 et dimanche 13 octobre 2024, Denis Langlois sera au SALON DU LIVRE "Marque-page", à CÉBAZAT (Puy-de-Dôme), Domaine de la Prade, 46 route de Gerzat, près de Clermont-Ferrand, sur le stand des Editions La Déviation.
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Le samedi 28 septembre 2024, à 15 heures, à MONNERVILLE (Essonne), CONFÉRENCE-DÉBAT "La Mort du babouin de Monnerville".
Le 22 août 2024, parution d’un nouveau livre aux éditions La Déviation : La Cavale du babouin
En 2022 : Parution de La Politique expliquée aux enfants de Denis Langlois, illustrée par Plantu. (Editions La Déviation)
Édition spéciale 1983-2022.
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2021. "Le Voyage de Nerval" (Gérard de Nerval au Liban), récit de Denis Langlois, paraît aux éditions de La Déviation.
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Paru en 2020 le livre "Pour en finir avec l’affaire Seznec" (La Différence) de Denis Langlois (avec un cahier-photos de 16 pages) sera bientôt à nouveau disponible en librairie.
2019
Les Éditions de La Différence publient "L’Affaire Saint-Aubin" de Denis Langlois, avec un cahier-photos de 16 pages.
2018, les éditions SCUP-La Déviation publient une nouvelle édition complétée et illustrée de "Panagoulis, le sang de la Grèce" de Denis Langlois.
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ARCHIVES MILITANTES.
Nouvelles rubriques sur le site :
*La Ligue des droits de l’homme (1967-1971).
*La Fédération internationale des droits de l’homme (1968-1970).
*Les luttes militantes pour l’autodétermination du Pays Basque (1984-1997).
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1. ARTICLES DE PRESSE ET DE BLOGS (par ordre chronologique).
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9 février 2015
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Affaire Seznec. Nouvelle révélation jeudi ?
Encore l’affaire Seznec ! On serait tenté de tourner la page. C’est justement ce qu’a voulu faire Denis Langlois, célèbre avocat dans un ouvrage salué par un autre expert, Bernez Rouz. En avant-première, jeudi, à Quimper, on saura donc peut-être le dernier mot de l’histoire.
« Pourquoi revenir une fois encore sur l’affaire Seznec qui, depuis près de 100 ans, accumule à son sujet des milliers d’articles de presse, d’émissions de radio, de télévision, quantité de films et de livres ? ». C’est la première question que pose Denis Langlois qui sera jeudi à Quimper. Rappelons qu’en 1924, la cour d’assises de Quimper a condamné sur des présomptions Guillaume Seznec au bagne à perpétuité pour le meurtre du conseiller général Pierre Quéméneur. Le cadavre de Quéméneur n’a jamais été retrouvé et Seznec n’avouera jamais le crime. Aujourd’hui, pour la justice, le dossier est clos. L’ultime demande en révision a été rejetée.
Secrets de famille
« Pour Denis Langlois qui a été pendant quatorze ans, de 1976 à 1990, l’avocat de la famille Seznec, le premier défenseur à consulter l’ensemble du dossier et qui a été empêché d’aller jusqu’au bout, le moment est arrivé de révéler ce qu’il sait : les secrets de la famille Seznec, les tabous, les témoignages troublants », justifie son éditeur.
L’avocat vient donc de publier « Pour en finir avec l’affaire Seznec » aux Éditions de la Différence (384 pages, 22 €).
« Un livre d’une importance capitale »
« Ce livre, huit ans après l’ultime demande de révision, s’avère d’une importance capitale », estime Bernez Rouz, président de Ti ar Vro et lui-même grand spécialiste du dossier. Seul journaliste à avoir accédé au dossier judiciaire de l’affaire, Bernez Rouz a publié en 2005 « L’affaire Quéméneur-Seznec », qui remet en cause beaucoup d’idées reçues sur le dossier. « Denis Langlois, militant des Droits de l’Homme, nous livre pour la première fois le secret de famille Seznec, concernant la mort tragique du conseiller général Pierre Quéméneur en 1923, ajoute Bernez Rouz. Cette révélation rebat complètement les cartes et ouvre la voie à une démystification de l’affaire engluée dans un tapage médiatique qui a conduit à une impasse. Denis Langlois propose dans ce livre une solution pour essayer d’en finir avec cette interminable affaire qui trouble à juste titre les consciences ». Denis Langlois, avocat spécialisé dans les affaires pénales et les droits de l’homme est aussi auteur en 1971 du livre « Les Dossiers noirs de la police française » dénonçant les violences policières, il a été poursuivi à plusieurs reprises par le ministre de l’Intérieur de l’époque, Raymond Marcellin. Il donnera une conférence pour présenter son nouveau livre dont la sortie nationale a lieu le même jour, jeudi à 20 h 30 aux halles Saint-François à Quimper (entrée gratuite). Il signera son ouvrage à la librairie Ravy à Quimper samedi, à 16 h.
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9 février 2015, article de Liliane Langellier
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Affaire Seznec : Le dernier Langlois... A lire d’urgence...
Quand on referme ce livre…
Quand on referme ce livre, les deux premières impressions qui dominent sont : la douceur et la paix.
Etonnant pour un livre qui traite d’une histoire violente.
Et d’une histoire qui a suscité tant de violences.
Denis Langlois consacre ses 7 premiers chapitres à rappeler ce que fut, pour la France entière, l’affaire Seznec.
Les faits. L’arrestation de Guillaume Seznec. L’enquête. L’inculpation. L’instruction. Le procès. Le bagne. La mort.
Et il a raison d’aborder le sujet ainsi.
Tous ses futurs lecteurs ne connaissent pas l’affaire Seznec.
Ou du moins ce qu’ils en connaissent se résume souvent à une phrase dite et redite : « Il est courageux, le petit-fils de défendre ainsi son grand-père ! »
Et c’est là que le bât blesse.
Parce qu’un petit-fils, il n’y en avait pas qu’un.
Parce que Denis Langlois nous l’avait déjà signalé sur son blog, Bernard Le Her , né en 1943, est le frère aîné de Denis qui est né, lui, le 26 décembre 1946. Mais qu’importe…
L’affaire Seznec, c’est l’affaire du grand blond. Point barre.
Seulement voilà….
Bernard Le Her, un beau jour de janvier 1978, pousse la porte du cabinet de Maître Langlois… Denis Le Her est au courant. Il l’a d’ailleurs aimablement décrit : « Vous verrez, il ressemble à « son » père François Le Her. »
Ces disputes familiales ne sont pas nouvelles. Elles émaillent toute l’affaire. Comme l’auteur nous le rappelle en page 208 :
« Dès ce moment, je comprends que l’affaire Seznec est non seulement une affaire judiciaire et médiatique, mais aussi un conflit familial permanent : Marie-Jeanne contre sa belle-mère, Jeanne Seznec contre ses frères Petit-Guillaume et Albert, Seznec contre son gendre Le Her. Aujourd’hui, les deux petits-fils Le Her l’un contre l’autre. »
On peut comprendre la surprise de l’avocat…
« Mais brusquement se produit un évènement qui, pour moi, va avoir de graves conséquences que je ne peux alors soupçonner. (…)
Le 6 janvier 1978, Bernard Le Her me demande de le recevoir. Il a des informations importantes à me communiquer qu’il ne peut pas confier par téléphone. Je le reçois immédiatement.
(…) Bernard me présente cérémonieusement ses vœux de nouvelle année. Il se plaint de ce que son frère s’empare de l’affaire « au nom de la famille », alors que personne ne l’a désigné. »
C’est que Bernard tient un secret de son oncle Petit-Guillaume, fils aîné de Guillaume Seznec.
Et il le balance ce secret. Oui, juste là. Comme ça.
« Je reste un instant sans voix, dit Denis Langlois, puis je lui demande de m’assurer qu’il ne fait pas de telles déclarations par jalousie vis-à-vis de son frère. Il s’offusque et affirme que son seul souci est la vérité. »
Seulement « verba volant… »… Alors Bernard va avoir l’astucieuse idée d’enregistrer son oncle. A son insu.
Maître Langlois ajoute : « Je n’aime pas beaucoup ce genre de méthode, mais, sonné, je laisse faire. »
Et ce qui fut dit fut fait.
Là, le lecteur, et surtout l’aficionado de l’affaire Seznec a le souffle coupé.
Et les jambes qui vacillent…
Il relit même deux ou trois fois certains passages pour être sûr qu’il n’a pas rêvé.
Denis Langlois, lui, de son côté, vérifie tout ce qu’il peut vérifier. Il y a eu tellement de mensonges dans cette affaire, qu’on n’est jamais trop prudent.
Seulement là, on n’est pas dans le cas d’une hypothèse mais dans celui d’une révélation. Donc on abandonne la conjugaison au conditionnel pour adopter celle à l’indicatif présent.
Quelques pages plus loin, en page 244, pour être précise, on part pour Lencloître. Cette bourgade au sud de Poitiers. Ou une certaine Madame Bataille a vainement tenté de se faire entendre lors des émissions d’Europe 1 de janvier 1979.
Et qui a été censurée par Pierre Bellemare et Denis Seznec.
Elle est si sûre d’elle qu’elle va demander à un avocat, Me Etienne Gouvernel de joindre Me Denis Langlois pour lui remettre ses cahiers.
Là encore, objet de dispute entre les deux frères.
Car notre Madame Bataille est futée…. Et elle a fini par trouver les coordonnées de Bernard Le Her. Qu’elle va joindre. Et qui, lui, va l’écouter.
Il va même aller jusqu’à faire creuser à l’endroit qu’elle indique… En Bretagne !
Seulement il y a un hic. Bernard a fait tout cela sans la permission de Denis Le Her. Pour trancher le tout, les deux frères demandent à leur avocat de les accompagner à Sancergues le 17 janvier 1986.
Le retour sera apocalyptique.
Denis hurle.
En réponse à Bernard qui tente : « J’ai autant de droits que toi ! »,
Denis hurle : « Non, c’est moi qui ai été désigné par grand-père, je suis son filleul et puis maman m’a chargé de la révision ! Tu n’avais pas le droit ! C’est moi ! »
Ambiance.
On connaît la suite…
Denis Seznec va se séparer de Maître Langlois qui a défendu sa famille non seulement loyalement mais aussi gratuitement pendant quatorze ans (de 1976 à 1990).
Complètement hors de contrôle, Denis Le Her, devenu Denis Seznec, va passer à la vitesse supérieure pour être adulé par les médias. Qui tomberont dans le piège. Sans aucun état d’âme.
Vous êtes déçus ?
Vous n’imaginiez quand même pas que j’allais d’une part vous révéler le secret de famille et d’autre part vous en raconter plus sur Madame Bataille.
Car tout ça, et bien tout ça, c’est à lire dans le livre de Maître Denis Langlois « Pour en finir avec l’affaire Seznec ».
Livre publié aux Editions de la Différence. Qui doit paraître le jeudi 12 février prochain.
Livre dont vous ne vous priverez pas, n’est-ce pas ?
Parce que, pour trouver douceur et paix dans toute cette tourmente, c’est du vrai travail d’artiste.
Liliane Langellier
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Ouest-France, 11 février 2015, "Affaire Seznec : de nouvelles révélations ?"
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Agence France Presse, dépêche du 13 février 2015.
Affaire Seznec : un témoignage troublant resté inexploité
Quimper (AFP).
Un homicide involontaire commis par l’épouse de Guillaume Seznec : c’est la thèse "la plus vraisemblable" aux yeux de l’ancien avocat Denis Langlois qui, après avoir assuré la défense de la famille Seznec pendant près de 15 ans, consacre un livre à cette énigme vieille de près d’un siècle.
Dans cet ouvrage, "Pour en finir avec l’affaire Seznec", Denis Langlois révèle un témoignage qu’il détient depuis 1978, lorsqu’il était l’avocat de la famille, entre 1976 et 1990. Mais la famille n’étant jamais parvenue à un consensus pour le rendre public, il l’a gardé secret jusque-là.
Ce témoignage est celui de "Petit-Guillaume", l’un des enfants, alors âgé de 11 ans, de Marie-Jeanne et Guillaume Seznec. Il a été enregistré 55 ans après les faits, en 1978, par l’un de ses neveux.
Guillaume Seznec a été condamné en 1924 au bagne à perpétuité pour le meurtre un an plus tôt de Pierre Quémeneur, conseiller général du Finistère avec lequel il était associé en affaires, ainsi que pour des faux en écriture.
Mais le corps de Quémeneur n’a jamais été retrouvé et Seznec, condamné sans preuves, n’a jamais avoué.
En ce jour ensoleillé de mai 1923, "Petit-Guillaume" joue dans le jardin à l’arrière de la maison familiale. Par la fenêtre ouverte, il entend les cris de sa mère à l’intérieur de la maison.
Il raconte : "Elle disait : +Ah ! Non, Pierre, pas vous, non !" Et puis : +Laissez-moi tranquille ! Ah ! Non. Laissez-moi tranquille ou j’appelle.+ Et puis après, je n’ai plus rien entendu."
"Je suis monté sur un petit rebord et j’ai regardé (par la fenêtre). C’est là que j’ai vu Quémeneur par terre et ma mère debout devant lui", poursuit "Petit-Guillaume". "Moi, je n’ai pas vu le coup se produire. Mon idée première, c’était ça. Il avait glissé sur le parquet ciré et sa tête avait dû cogner le canapé (...) Quand même, ça me semble douteux. Je crois qu’elle a dû se défendre et le frapper à la tête."
– ’Jurer de ne rien dire’ -
"Il y avait du sang qui coulait, mais pas énormément, (...) du front. (...) Il était recroquevillé sur lui, il n’était pas allongé", dit encore l’adulte se remémorant ses souvenirs d’enfant.
Entre les cris de la mère et la vision du corps de Quémeneur, combien de temps s’est-il écoulé ? demande le neveu. "Ça faisait peut-être une minute", répond "Petit-Guillaume".
Selon lui, en dehors de ses parents et de lui-même, seule une domestique, Angèle, présente dans la maison au moment du drame, a été mise au courant. Le jour même, "avec Angèle, on nous a fait jurer de ne rien dire", précise-t-il.
Décédé en 1982, "Petit-Guillaume" a livré ce témoignage au soir de sa vie.
Quant à Denis Langlois, il l’a conservé pendant plus de 35 ans. "Moi aussi, je prends de l’âge et si on a des choses à révéler, il faut le faire avant qu’il ne soit trop tard", dit-il à l’AFP.
L’explication de "Petit-Guillaume" est "la thèse la plus vraisemblable, la moins en contradiction avec les éléments du dossier", estime-t-il.
Denis Langlois ne veut pas s’étendre sur les dissensions qui ont divisé la famille Seznec à propos des orientations à donner à la défense, dont il a été évincé en 1990.
Une éviction liée apparemment au fait qu’il ne partageait pas la stratégie imposée par Denis Seznec qui a incarné aux yeux du public les efforts pour la réhabilitation de son grand-père mais qui a, pour l’auteur, "voulu avoir la maîtrise totale de l’affaire", en en faisant un combat personnel à ses yeux.
L’inimitié est palpable entre les deux hommes.
Interrogé par l’AFP, Denis Seznec a refusé de commenter les nouveaux éléments rendus publics par l’avocat. "Une nouvelle requête en révision va être déposée" et "il n’y a pas de secret de famille" non révélé, s’est-il borné à déclarer.
Denis Langlois comme Denis Seznec sont pourtant d’accord sur un point : tous deux souhaitent une nouvelle requête en révision -ce serait la quinzième- du procès de Guillaume Seznec.
Reste à savoir sur quelle base.
Clarisse LUCAS
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LCI-TF1.fr, 13 février 2015, "92 ans après, l’affaire Seznec rebondit avec un témoignage inédit", par Gary ASSOULINE.
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Ouest-France, 13 février 2015, L’épouse Seznec a-t-elle tué Quémeneur ? Entretien avec Denis Langlois.
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Le Télégramme de Brest, 13 février 2015, article de Cathy TYMEN.
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Le Progrès, L’hebdo du Finistère, 13 février 2015, "Ce livre est un acte militant", interview de Matthieu GAIN.
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La Croix.com, 13 février 2015, "Un avocat révèle un témoignage inédit."
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La Dépêche.fr, 13 février 2015 : "Un témoignage troublant resté inexploité."
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Le Dauphiné.com, 13 février 2015, "Affaire Seznec : enfin la vérité ?"
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Ouest-France, 14 février 2015, " Affaire Seznec : une hypothèse, une polémique", article de Rosemary BERTHOLOM.
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Agence Bretagne Presse, 14 février 2015, dépêche de Christian ROGEL.
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Le Figaro.fr, 14 février 2015, "Un témoignage inédit pourrait relancer l’affaire Seznec", par Roland GAURON.
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Le Télégramme de Brest, 15 février 2015.
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La Montagne, 15 février 2015, "Un témoignage inédit sur l’affaire Seznec", article de Jean-Luc CHABAUD.
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Le Progrès, 15 février 2015.
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JEUDI. CHERCHEZ LA FEMME
Manquait plus que ça ! Denis Langlois, un ex-avocat de la famille, révèle une nouvelle version de l’affaire Seznec qui passionne la Bretagne depuis un siècle. Il affirme avoir reçu, dans les années 70, un témoignage d’un membre de la famille Seznec qu’il n’a jamais voulu révéler jusqu’à présent. Selon lui, c’est Madame Seznec elle-même qui aurait tué Quéméner un jour par accident, alors qu’il se montrait trop entreprenant. Allons bon, voilà que maintenant, c’est la femme qui a fait le coup ! La reprise de l’enquête sur ce nouveau volet féminin a été confiée à la commissaire Mégrette et à l’inspectrice Colomba.
Ma Bretagne.Com, 15 février 2015, "L’affaire Seznec rebondit. Jeudi, cherchez la femme."
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Havre-Libre, 16 février 2015.
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Paris-Normandie, 16 février 2015, "L’affaire Seznec relancée ?"
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RTL.fr, 16 février 2015, article de Jacques PRADEL et Laure BROULARD.
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Skyrock.Com, 18 février 2015, Blog de Taigong788, "L’affaire Seznec : enfin la vérité ?"
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Blog Action-Suspense de Claude LE NOCHER, 20 février 2015.
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Sud-Ouest, 22 février 2015, "L’affaire Seznec rebondit", article de Haude GIRET .
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Groupe Information Bretagne (GRIB), 25 février 2015, "Affaire Seznec : le (quinzième) retour !"
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Le Trégor.fr, 27 février 2015, "Il révèle le secret des Seznec", par Matthieu GAIN.
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France TV Info, 4 mars 2015, "Affaire Seznec : les révélations de l’ancien avocat de la famille", article de Sophie GRANEL
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"L’Affaire Seznec rebondit", Tribune de Denis Langlois sur le Blog ActuaLitté , 5 mars 2015..
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Arc en Ciel (revue de Nouveaux Droits de l’Homme), mars 2015.
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Babelio.com, 16 mars 2015.
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Le Progrès-La Tribune, 19 mars 2015, "Affaire Seznec, une énigme qui n’en finit pas de nous intriguer", article de Christophe BOUYER.
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La Montagne, 20 mars 2015, "Denis Langlois démystifie l’affaire Seznec", article de Jean-Luc CHABAUD.
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L’Éveil (Haute-Loire), article du 22 mars 2015.
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Blog L’Écritoire des Muses, 28 mars 2015, article d’Annie FOREST-ABOU MANSOUR.
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Blog Médiapart, 13 mai 2015, article de Liliane LANGELLIER : "Quémeneur a-t-il été enterré à Morlaix ?".
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22 mai 2015, Dépêche de l’Agence France-Presse, Clarisse LUCAS.
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Ouest-France, 22 mai 2015, "Affaire Seznec. Des fouilles dans la maison de Morlaix demandées" (selon AFP).
.Le Télégramme, 23 mai 2015. "Et si Quémeneur était enseveli à Morlaix ?".
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• Affaire Seznec : demande d’investigations sur un possible lieu d’ensevelissement de Quémeneur
L’ancien avocat de la famille de Guillaume Seznec, Denis Langlois, demande à la justice de procéder à des investigations sur un des lieux possibles de la mort et de l’ensevelissement du corps jamais retrouvé de Pierre Quémeneur, dans la maison où vivait à l’époque la famille Seznec à Morlaix. Denis Langlois souligne "qu’il existe aujourd’hui des moyens modernes de détection, notamment des radars géologiques, permettant de savoir ce qui se trouve dans les différentes couches du sol sans être obligé de procéder immédiatement à des fouilles". La gendarmerie dispose de ce type de matériel qu’elle utilise régulièrement, assure-t-il. La maison où vivait la famille Seznec à l’époque des faits existe toujours et a subi peu de modifications. De telles investigations "peuvent être un moyen de parvenir enfin, un siècle après, à la vérité dans cette énigme judiciaire", considère l’avocat. Dans un ouvrage paru en début d’année, "Pour en finir avec l’affaire Seznec", Denis Langlois révèle un témoignage inédit d’un des enfants du couple Seznec, âgé de 11 ans au moment des faits. Enregistré en 1978 par l’un de ses neveux, cet homme raconte avoir vu le corps de Quémeneur gisant dans la maison familiale en l’absence de son père. Le conseiller général du Finistère, en affaires avec Seznec, avait-il glissé sur le plancher, ou Mme Seznec l’avait-elle frappé, provoquant sa chute, en repoussant les avances de ce notable célibataire ?
La décision d’ouvrir un nouveau chapitre dans l’affaire Seznec appartient donc désormais au procureur de Brest.
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Le Progrès.fr, 23 mai 2015. "Demande de fouilles dans l’affaire Seznec".
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Le Télégramme, 24 mai 2015. "Quémeneur enterré à Morlaix ?", propos recueillis par Monique KEROMNÈS.
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Dépêche de l’AGENCE FRANCE-PRESSE du 26 mai 2015.
Affaire Seznec : le procureur rejette la demande de fouilles dans la maison familiale
· Rennes (France)
· 26 mai 2015 17:56
· AFP
Le procureur de la République de Brest a rejeté mardi une demande de fouilles dans l’ancienne maison de la famille Seznec à Morlaix (Finistère) émanant d’un avocat qui affirme que le corps, jamais retrouvé, de Pierre Quémeneur a pu y être enterré lors de sa disparition en 1923.
Dans un courriel adressé à l’AFP, le procureur Eric Mathais précise qu’une telle demande ne peut-être déposée, en vue d’une demande en révision, que "par le condamné ou son représentant légal, ses enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants" ainsi que par "le ministre de la justice" et les autorités judiciaires compétentes, à savoir "le procureur général près la cour de cassation" et "le procureur général".
"Je n’ai pas été saisi d’une telle demande par les petits-enfants de Guillaume Seznec", décédé en 1954, a-t-il ajouté.
Denis Langlois, qui été l’avocat de la famille Seznec jusqu’en 1990, avait demandé courant mai au procureur de la République de Brest de faire procéder par la police à des investigations au domicile qu’occupait la famille Seznec, à Morlaix, au moment de la disparition de Pierre Quémeneur, en 1923. Si, après le drame, des perquisitions ont été menées dans la propriété de Guillaume Seznec, des fouilles n’y ont jamais été effectuées, les enquêteurs concentrant leurs recherches sur la région parisienne vers laquelle Seznec et Quémeneur, qui étaient en affaires ensemble, étaient partis en voiture avant la disparition de ce dernier.
M. Langlois a rendu public récemment un témoignage remontant à 1978 qui laisse à penser que Pierre Quémeneur pourrait avoir trouvé la mort et avoir été enseveli au domicile des Seznec.
Guillaume Seznec, qui n’a jamais avoué, a été condamné en 1924 au bagne à perpétuité. Depuis, les 14 demandes en révision du procès ont été rejetées, la dernière en 2006.
Clarisse Lucas
Journaliste
Agence France Presse,
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Ouest-France, 26 mai 2015. "Affaire Seznec. La demande de fouilles dans la maison familiale rejetée."
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Le Télégramme, 26 mai 2015. "Affaire Seznec. La demande de fouilles rejetée."
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France 3 Bretagne Info, 26 mai 2015. "Affaire Seznec ; le procureur rejette la demande de fouilles dans la maison familiale."
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Le Parisien- Aujourd’hui en France, 29 mai 2015, article de Nicolas JACQUARD : "Il remue les fantômes de l’affaire Seznec. L’ex-avocat de la famille Seznec assure que le corps de Pierre Quéméneur, disparu en 1924, pourrait se trouver dans la maison de Guillaume. Mais la justice refuse les fouilles." Denis Langlois déclare qu’il ne renonce pas.
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31 mai 2015 ( Blog Vilain-Baker. Affaire Seznec )
Fouilles à Traon-Ar-Velin
La demande de fouilles de Denis Langlois a été rejetée par le procureur de Brest. Cette demande effectuée à titre personnel avait peu de chance d’aboutir. Le procureur avait l’embarras du choix pour trouver une bonne raison de ne pas soulever le couvercle. Denis Langlois ayant à nouveau et plutôt assez judicieusement médiatisé l’affaire, il semble improbable que nous en restions là.
J’ai suggéré d’engager des fouilles à titre privé avec l’accord du propriétaire de l’ancienne maison Seznec et de les faire financer par un média en échange d’une exclusivité. Denis Langlois pense que cela rappellerait trop les fouilles de Plourivo financées par Radar. A titre personnel, cela ne nous dérange pas plus que cela.
La justice n’aime pas être brusquée et elle suit son cours à la vitesse d’un long fleuve tranquille. Nous sommes donc partis pour 10 ans de procédures. Les gens qui suivent cette affaire ont déjà pour la plupart un pied dans la tombe donc nous n’avons pas toute la vie.
Nous proposons que l’on se cotise pour faire des fouilles. Si l’on obtient l’accord du propriétaire, il est possible de louer les services d’un technicien avec un radar de sol pour une somme assez raisonnable. Éventuellement, nous les financerons sur nos propres deniers si l’appel à cotisation ne donne aucun résultat. Si c’est le cas, nous garderons le résultat des recherches pour nous.
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2 juin 2015. Article de Liliane Langellier sur son Blog Affaire Seznec Investigation .
(Entretien téléphonique avec Mme Claudie Seznec, veuve de Petit-Guillaume.)
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3 juin 2015. Le réalisateur de cinéma Bertrand Tavernier publie sur son Blog DVD Découvertes et classiques français l’extrait d’une chronique de Jean-Marc Berlière, spécialiste des questions de police :
"L’affaire Seznec a vu un combat mené des décennies durant par un petit fils, Denis Le Her. En dépit de « shows » très rodés et d’un lobbying effréné qui a même touché une garde des Sceaux d’origine bretonne, en dépit d’un livre peu rigoureux vendu à deux millions d’exemplaires, ce dernier n’a pas obtenu une révision dont la 14e demande, fondée sur des arguments parfois surprenants, démontrait surtout une méconnaissance des documents judiciaires, des enquêtes de police et des faits. Longtemps aidé dans son combat par des avocats de renom (J.-D. Bredin, D. Langlois) qui croyaient sans doute revivre l’affaire Dreyfus, Denis Seznec a récemment fait un coming out aux côtés de Me Collard et affiché son soutien à Marine Le Pen et au FN…
On imagine la gêne et l’embarras chez les admirateurs et soutiens du combattant pour la justice ! C’est le cas notamment d’un de ses compagnons de lutte des années 1970 et 1980, Denis Langlois, très proche de la LDH, grand pourfendeur des abus de la police et des dérapages de la justice dans divers Livres noirs qui, avec son Guide du militant, furent les livres de chevet d’une génération.
Notre homme vient de publier un ouvrage — Pour en finir avec l’affaire Seznec (Paris, La Différence, janvier 2015) — très intéressant par l’évolution qu’il traduit par rapport à un précédent paru en 1988 (L’Affaire Seznec, Plon) récompensé en son temps par le Prix des Droits de l’Homme.
L’avocat honoraire qui admet la culpabilité de Guillaume Seznec quant à la fausse promesse de vente, mais rejette au bénéfice du doute celle pour meurtre, y fait état du témoignage inédit de l’un des fils de Guillaume Seznec selon lequel Pierre Quéméneur serait mort le dimanche 27 mai 1923 au domicile des Seznec, tué par Marie-Jeanne Seznec qu’il poursuivait de ses assiduités. Les faits se seraient passés pendant l’absence de Guillaume Seznec (faut-il préciser que cela rend encore plus obscur le calendrier des déplacements de ce dernier ?). Il conclut que cette révélation devrait conduire à la « révision « au bénéfice du doute » » de la condamnation de Guillaume Seznec pour meurtre.
Outre l’amour déçu qui s’y lit et le sentiment de trahison qu’il exhale, l’ouvrage de Denis Langlois présente les faits de façon plus nuancée et s’oppose à la thèse de
Denis Seznec qui vend depuis toujours l’innocence totale de son grand-père pure victime d’une machination.
Les journalistes du Monde l’avaient bien dit : l’histoire est un point de vue et l’engagement politique postérieur d’un descendant peut éclairer de façon différente une analyse qui se dévoile avant tout militante."
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5 juin 2015. Article de Bertrand Vilain sur le Blog
Vilain/Baker. Affaire Seznec
(Quel est le coût des fouilles de la maison Seznec ?)
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5 juin 2015. Présentation du livre "Pour en finir avec l’affaire Seznec" sur le Blog de Moon.
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10 juin 2015. Article de Liliane Langellier sur son Blog Affaire Seznec Investigation .
(Petit Guillaume).
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12 juin 2015. Chronique de Jean-Paul sur le Blog Arvem Association.
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12 juin 2015. Article dans La Montagne.
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13 juin 2015. Article de Liliane Langellier sur son Blog Affaire Seznec Investigation.
(Va-t-on vers une quinzième demande de révision ?)
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Chronique de Philippe Geneste dans "La Lettre" du 19 juin 2015 et dans "Marginales", revue de littérature et de critique sociale, du 24 juin 2015.
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20 juin 2015. Article de Liliane Langellier sur son Blog Affaire Seznec Investigation (Morlaix, la dernière tombe de Pierre Quémeneur.)
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23 juin 2015. Article de Skeptikos sur son Blog Affaire de Cadillac (Un petit saut au Havre.)
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23 juin 2015. Article de Dominique Conil dans Mediapart (Affaire Seznec : saison 15, épisode un ?)
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6 juillet 2015. Entretien avec Yves Durand dans Le Courrier de l’Ouest et Le Maine Libre (Affaire Seznec : "Prêt à reprendre la robe.")
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8 juillet 2015. Article de Liliane Langellier sur son Blog Affaire Seznec Investigation (Et le commissaire Vidal décida que ce serait Houdan.)
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16 juillet 2015. Article de Guy Biet dans Ouest-France (L’affaire Seznec se retrouve aussi au cimetière de Saint-Brice.)
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3 août 2015. Article de Hervé Chambonnière dans Le Télégramme
Extrait de l’article :
Un nouveau rebondissement ?
Après 2006, l’affaire est-elle enfin close ? Dans un très instructif livre publié en février dernier (« Pour en finir avec l’affaire Seznec »), Denis Langlois, ancien avocat de la famille Seznec, dévoile un témoignage qu’il détenait depuis 1978, mais que la famille se refusait, selon lui, à révéler : Quéméneur aurait devancé le retour de Seznec, le 27 mai 1923, et serait mort accidentellement, violemment repoussé par l’épouse de Guillaume à qui il faisait des avances. Son cadavre pourrait être toujours enterré sur l’ancienne propriété des Seznec, à Morlaix. Juridiquement, seuls les descendants de Seznec, silencieux depuis cette révélation, pourraient faire une demande de fouille ou de sondage du terrain par radar géologique.
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13 août 2015. Message de "Breizh" sur le Blog Justice-Affaires criminelles :
Bonjour, je viens sur ce forum suite à la lecture dans la presse du refus de la justice de procéder à des fouilles.
Quelqu’un sait-il, puisqu’il y a apparemment un bois derrière le Queffleuth attenant à la propriété, si on pourrait transposer les indications que G.Seznec a données dans son délire concernant Plourivo (cf. Fouilles de Plourivo en 1953) à la topographie de ce bois par rapport à la maison et à la rivière. Merci !
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30 août 2015. Article de Liliane Langellier sur son blog Affaire Seznec Investigation (Cocu, le fisset à sa maman ?)
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23 octobre 2015, sur DVD Blog, note du réalisateur Bertrand Tavernier :
"Pour en finir avec l’affaire Seznec" de Denis Langlois bouscule clichés et idées reçues. Quand même, on ne peut s’empêcher de penser que la famille Seznec est un fameux nid de crabes, affabulateurs, menteurs, égocentriques (sauf Bernard ?), ce qui ne fait pas de Guillaume un meurtrier d’office mais jette des lueurs troubles sur sa personnalité. Enquête absolument passionnante ou l’auteur se remet en cause.
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28 octobre 2015, Billet d’Andrev Guéguen :
Alors, tout ça pour un malheureux coup de chandelier sur la tête d’un coureur de jupon..., tout ça pour des faux en écritures dans l’espoir de récupérer quelques pièces d’or et les enchaînements d’un effet domino d’événements où les passions humaines l’emportent à tous les coups sur la raison !... Une intrigue pour théâtre de bonbonnière qui tourne au drame ; une conclusion en guise de morale à destination des vertueuses du "rouleau à pâtisserie" et des profiteurs toujours aussi mauvais joueurs.
Une mort malencontreuse et la guillotine évitée de justesse, une succession de souffrances extrêmes et de violences ordinaires, la vie d’êtres vivants habitée par la folie de fantômes du passé, oui, cette affaire Seznec est emblématique de ce XXème siècle de tous les excès.
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22 septembre 2016, dans la revue Criminocorpus (Revue d’Histoire de la justice, des crimes et des peines), article de Marc Renneville, chercheur au CNRS et membre du centre Koyré, sur le livre "Pour en finir avec l’affaire Seznec".
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France Info, 13 février 2015, "L’affaire Seznec relancée par un nouveau témoignage ?", par Laurent DOULSAN.
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France-Inter, Journal du 13 février 2015, par Nacime RAHOUL et Laurent DOULSAN.
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RTL, 16 février 2015, Denis Langlois est l’invité de l’émission "L’Heure du Crime" de Jacques PRADEL.
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RCF, 22 mars 2015, Émission "Des livres et des hommes", entretien avec Jean-Pierre LARMINIER.
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RCF, 10 avril 2015, "Perles de culture", émission de Gérard GEORGES.
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EUROPE 1, 23 avril 2015, "Au coeur de l’histoire", émission de Franck FERRAND.
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EUROPE 1, 22 mai 2015, "Dossiers Justice", "Affaire Seznec : un siècle après, de nouvelles investigations ?", par Marc-Antoine BINDLER.
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VARIATION, 23 mai 2015,"un siècle après, l’affaire Seznec intrigue encore."
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ALTERNANTES, 12 septembre 2015, Denis Langlois est l’invité d’Etienne GASCHE,dans l’émission "Bouquins en Bretagne".
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EUROPE 1, 30 septembre 2016, Émission de Christophe Hondelatte consacrée à l’affaire Seznec. (Possibilité de réécouter l’émission en podcast.)
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Interview par Cathy TYMEN, Vidéo LE TÉLÉGRAMME, 12 février 2015.
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Interview par Rosemary BERTHOLOM, Vidéo OUEST-FRANCE, 12 février 2015.
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Interview par Frédéric LORENZON sur la chaîne de TV TÉBÉO (Bretagne), le 13 février 2015.
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Interview par Valérie MATHIEU, Journal Télévisé de FRANCE 3 Auvergne du 4 mars 2015.
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Journal Télévisé de FRANCE 3, le 23 mai 2015. Reportage de J.P. LYVINEC et B. LE BORGNE, récit de C.CABRAL, montage de G. DANRÉ.