1. AGENDA

En août 2024, parution d’un nouveau livre aux éditions La Déviation : La cavale du babouin


En 2022 : Parution de La Politique expliquée aux enfants de Denis Langlois, illustrée par Plantu. (Editions La Déviation)
Édition spéciale 1983-2022.

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2021. "Le Voyage de Nerval" (Gérard de Nerval au Liban), récit de Denis Langlois, paraît aux éditions de La Déviation.

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Paru en 2020 le livre "Pour en finir avec l’affaire Seznec" (La Différence) de Denis Langlois (avec un cahier-photos de 16 pages) sera bientôt à nouveau disponible en librairie.

2019

Les Éditions de La Différence publient "L’Affaire Saint-Aubin" de Denis Langlois, avec un cahier-photos de 16 pages.

2018, les éditions SCUP-La Déviation publient une nouvelle édition complétée et illustrée de "Panagoulis, le sang de la Grèce" de Denis Langlois.

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ARCHIVES MILITANTES.

Nouvelles rubriques sur le site :

*La Ligue des droits de l’homme (1967-1971).

*La Fédération internationale des droits de l’homme (1968-1970).

*Les luttes militantes pour l’autodétermination du Pays Basque (1984-1997).

*La guerre dans l’ex-Yougoslavie (1991-1994).

Les luttes militantes pour l’autodétermination du Pays Basque. 2

Denis Langlois, qui s’est préoccupé activement de la question basque, met à la disposition des internautes ses archives personnelles (période 1984-1997).


Archives personnelles.

Période 1990-1997.

Pour la période 1984-1990, cliquez Ici

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L’entité administrative convenable de François Mitterrand.

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Lors de sa campagne électorale en vue des élections présidentielles de mai 1981, François Mitterrand présenta un ensemble de 110 propositions qu’il s’engageait à réaliser s’il était élu. La proposition n° 54 était ainsi rédigée : Un département Pays Basque sera créé. Élu Président de la République, il ne respecta pas cette promesse.

En octobre 1984, il effectua un déplacement à Bayonne et déclara qu’un département Pays Basque "ne serait pas opportun", car il risquerait de n’être qu’une étape vers l’autonomie ou l’indépendance du Pays Basque.

Cela provoqua les protestations de nombreuses associations basques accusant le Président d’être parjure.

 

En juin, puis en octobre 1990, Denis Langlois adressa au Président Mitterrand une lettre lui rappelant sa promesse.

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Le 23 octobre 1990, Jean Kahn, chargé de mission auprès du Président de la République, fit une réponse qui devait faire couler beaucoup d’encre et de salive en France comme en Espagne.

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Dépêche de l’Agence France Presse le 4 novembre 1990 (rédigée par Christophe Hondelatte).

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"Sud-Ouest", 5 novembre 1990 (article de Gérard Eder).

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"Le Monde", 5 novembre 1990.

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"Le Quotidien de Paris", 5 novembre 1990.

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"Egin", 5 novembre 1990 (Article de Teresa Toda).

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"Deia", 5 novembre 1990.

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Dépêche de l’Agence France Presse, 5 novembre 1990.

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"Ouest-France", 6 novembre 1990.

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"Le Quotidien de Paris", 6 novembre 1990 (Article de Jean-François Moruzzi).

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"El Diario Vasco", 6 novembre 1990 (Article de Fernando Iturribarria).

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"Deia", 6 novembre 1990.

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"Egin", 6 novembre 1990. (Article de Bixente Vrignon).

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Dépêche de l’Agence France Presse, 6 novembre 1990.

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"Sud-Ouest", 7 novembre 1990.

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"Deia", 7 novembre 1990.

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"Diario Vasco", 7 novembre 1990.

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Dépêche de l’Agence France Presse, 8 novembre 1990. (Réaction de François Bayrou.)

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"Enbata", 8 novembre 1990.

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"Sud-Ouest", 8 novembre 1990.

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"Ekaitza", 8 novembre 1990.

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"Herriz Herri", 8 novembre 1990.

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"Le Monde", 9 novembre 1990.

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Communiqué de Jacques Saldou, Président du Comité pour la Défense des Droits de l’Homme en Pays Basque, 9 novembre 1990.
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"Ager" (hebdomadaire du PNV), 15 novembre 1990.

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"La République des Pyrénées", 17 novembre 1990.

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Dépêche de l’Agence France Presse, 10 décembre 1990.

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"Deia", 7 janvier 1991.

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Les Echos, 7 janvier 1991

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"Journal de Genève", 8 janvier 1991 (Article de Patrick Busquet).

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Telesforo de Monzon.

Les 8, 9 et 10 mars 1991, à Saint-Jean-de-Luz, l’association Anai Artea présidée par Mixel Mendiburu commémore le 10e anniversaire de la mort de Telesforo de Monzon, avocat, écrivain, ancien ministre, militant historique du nationalisme basque. Prennent successivement la parole : Jean Fagoaga, Jean-Louis Davant, Patxi Zabaleta, Jakes Abeberry, Jean-Yves Carlier, Denis Langlois, Pantxoa Garat, Walter Luyten et José Luis Elkoro.

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Texte de l’allocution de Denis Langlois à l’occasion du 10e anniversaire de la mort de Telesforo de Monzon, le 10 mars 1991, à Saint-Jean de-Luz. ("Enbata", 14 mars 1991.)

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15 mai 1991, au siège de la CIMADE, à Paris, est organisée une Conférence de presse pour dénoncer les conditions de vie des détenus politiques basques dans les prisons françaises.

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"Enbata", 23 mai 1991.

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En juin 1991, à Madrid, devant l’Audiencia nacional, se tient le procès de deux policiers espagnols impliqués dans l’organisation du GAL (Groupe antiterroriste de libération). Denis Langlois y assiste en tant qu’observateur judiciaire. Le 12 juin 1991, il donne une conférence de presse au Club international de presse de Madrid.

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"Deia", 11 juin 1991.

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"Egin", 11 juin 1991.

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"Urgences pacifistes", août 1991. (Dossier de Michel Lebailly.)

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Les arrestations de réfugiés basques en France se poursuivent. Cependant, fin janvier 1992, a lieu une nouvelle rafle. Pour la première fois, un curé, François Garat, est arrêté, de même que le Président d’Anai Artea, Michel Mendiboure, et son épouse Mari Bittori Garaia. Ils hébergeaient des réfugiés basques.

"Informations ouvrières", 5 février 1992.

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"Egunkaria, 5 février 1992.

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"Le Monde", 15 février 1992.

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Appel pour la négociation au Pays Basque.

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Le 2 mars 1992, Denis Langlois et Pedro Carrasquedo, journaliste d’origine basque, lancent un Appel pour la négociation au Pays Basque.

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Des contacts sont pris notamment avec ETA et une note des dirigeants de cette organisation est transmise à Denis Langlois. Celui-ci répond par le même canal. Le texte de l’Appel est examiné à nouveau par la direction d’ETA. Une décision est sur le point d’être prise.

Traduction française de la réponse d’ETA.

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Le 29 mars 1992, à Bidart, la police française procède à l’arrestation de trois dirigeants d’ETA (Francisco Mugika Garmendia, José Luis Alvarez Santacristina et Joseba Arregui Erostarbe). Des documents sont saisis dont le texte de l’Appel.

"Libération", 31 mars 1992.
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Le 26 avril 1992, Denis Langlois participe au Forum de Guernika. Dans son allocution, il affirme que l’arrestation des dirigeants d’ETA à Bidart n’a été effectué par la police française, sur la demande du gouvernement espagnol, que parce que les conditions d’une véritable négociation pouvaient être enfin réunies. ETA était sur le point d’accepter le principe d’une trêve des attentats en vue de négociations politiques élargies. "Loin d’arrêter des terroristes, on a voulu arrêter un processus de paix".

Discours du Forum de Guernika, 26 avril 1992.

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Dépêche de l’Agence Heda, 6 mai 1992.
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"Egin", 10 mai 1992.
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"Deia", 10 mai 1992.
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"Egunkaria", 10 mai 1992.
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"Enbata", juin 1992.

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Le 12 mai 1992, le journaliste Pedro Carrasquedo est arrêté (ainsi que sa femme Françoise). Il est inculpé de "participation à une association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" pour aide à ETA. Denis Langlois, en tant qu’avocat, demande sa libération, assurant que les contacts pris par Pedro Carrasquedo l’ont été dans un but pacifiste, pour parvenir à une solution négociée du conflit basque. Ayant eu les mêmes contacts, il s’étonne de ne pas être inculpé lui aussi.

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Bulletin du Comité de Défense des Droits de l’homme en Pays Basque, juin 1992 (article de Camille Frossard).

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Le 14 mai 1992, Pedro Carrasquedo est libéré. Mme Laurence Le Vert, la juge d’instruction, reconnaît que l’arrestation des dirigeants d’ETA constitue un coup d’arrêt à l’initiative de l’Appel pour la négociation.

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L’insoumission de jeunes Basques au service militaire français

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L’insoumission au service militaire a toujours été très forte au Pays Basque, notamment dans le Pays Basque Nord durant la guerre de 14-18, puis la guerre d’Algérie.

Plus récemment, des objecteurs de conscience basques ont refusé d’effectuer leur service militaire ou le service civil de remplacement. Un exemple : en mars 1986, Hervé Thépault, militant basque libertaire, fut jugé et condamné à Pau.

"Enbata", mars 1986.

 

Au début de l’année 1992, trois jeunes Basques, Eric Lechardoy, Nicolas Padrones et Jean-François Lefort, refusent d’effectuer leur service militaire. Ils sont poursuivis et condamnés pour insoumission.

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"Sud-Ouest", 25 mai 1992.
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Message lu à la manifestation du 23 mai 1992.

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"Enbata", 28 mai 1992.

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"Urgences pacifistes", juin 1992.

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Communiqué du 10 juin 1992 rendant compte d’une délégation au Ministère de la Justice.

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"Enbata", 18 juin 1992.

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"Enbata", 25 juin 1992.

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Manifestation du 27 juin 1992 à Saint-Jean-Pied-de-Port.

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"Sud-Ouest", 29 juin 1992.

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"Egin", 28 juin 1992.

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"Enbata", 2 juillet 1992.

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"Jakilea", juillet 1992.

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"Union pacifiste", juillet 1992.

Communiqué du 17 juillet 1992.

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"Enbata", 10 octobre 1992.

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"Ekaitza", octobre 1992.

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"Jakilea", décembre 1992.

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"Enbata", 14 janvier 1993.

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"Herria" 1993.

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Au Pays Basque Sud, le mouvement d’insoumission est encore plus important.
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Le 16 février 1993, Peixoto Pagoaga, militant "historique" du nationalisme basque, est arrêté pour "association de malfaiteurs" à son domicile basque et transféré par avion à Paris.
Un attentat du Bataillon Basque-Espagnol, prédécesseur du GAL, l’a rendu invalide, quasiment aveugle. Il bénéficie du statut de réfugié politique.
Défendu par Mes Jon Gonzales, Denis Langlois et Jean-Jacques de Félice, il sera libéré le 5 mars, assigné à résidence à Paris par le juge Laurence Le Vert, puis autorisé à retourner au Pays Basque où il sera accueilli chaleureusement le 2 avril 1993 à l’aéroport de Parme-Biarritz.

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"Nouvel Art du Français", février 1993. (Revue dirigée par Ratimir Pavlovic.)

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"Jakilea", mars 1993. Texte de la Conférence de presse tenue à Madrid le 4 février 1993, lors du procès du policier Duce, assassin du député et journaliste basque Josu Muguruza.

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"Egin", 13 mars 1993.

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"Jakilea", février 1995 (Procès de Mikel Ibanez).

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"Egin", 26 août 1996. (Interview de Bixente Vrignon.)

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En août 1997, mort de Mattin Carrere, curé d’Arbonne et militant nationaliste basque particulièrement actif. Il hébergea notamment de nombreux réfugiés basques. (*Voir article "Les Maisons du Pays Basque Nord ont ouvert leurs portes" de Carole Suhas paru le 15 juin 2013 dans "Le Journal du Pays Basque ").

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Hommage rendu à Mattin Carrere, "Jakilea", septembre 1997.

Denis Langlois et Mattin Carrere, lors de la "Journée des Réfugiés" en novembre 1989.

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Conférence de presse de l’association "Anai Artea" lançant sa campagne "Retour des prisonniers basques". Son président Mixel Mendiboure en présente les différents points.
À ses côtés : Battitta Larzabal, Didier Rouget, Frantxua Garat et le Docteur Jean Fagoaga.

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"Egin", 3 décembre 1997. (Procès des dirigeants de Herri Batasuna.)

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"Enbata", 18 décembre 1997.

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"Sortir de l’impasse basque", décembre 1997.

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Carte de vœux envoyée en janvier 1998 par Camille Frossard, Présidente du Comité pour la Défense des Droits de l’Homme en Pays Basque.


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